Maltraitance à l’hôpital

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Un soignant dans une salle de traitement vide à l'hôpital militaire de Daegu, après que les patients soient partis en bonne forme le 9 avril. Photo : Yonhap

Témoignage vécu

À : Alexandre Jandrok

sam. 13 mars à 13:42

 Bonjour Philippe 

Je profite de ce message pour raconter ma triste aventure avec la médecine afin d’informer de ses dysfonctionnements et de la façon dont certains patients sont hélas traités. 

Comme tu le sais, je suis obligée de me rendre à l’Hôpital tous les 21 jours afin de recevoir une perfusion qui freine l’hémolyse qui affecte mon corps  depuis mars 2018.

Ce n’est pas avec allégresse que je m’y rends, mais je n’ai pas le choix.

Découverte cette année-là à cause d’une fatigue intense et d’une hémoglobine extrêmement basse, le nom de cette pathologie est “HPN”, où une protéine protectrice s est mise en silence et un anticorps se met à tuer tout simplement mes propres globules rouges.

J’ai évidemment cherché d’autres options, d’autres traitements, mais ils n’existent pas. Et sans cette perfusion mon sang s’effondre créant au passage des thromboses ou des œdèmes cérébraux ;  ce que j’ai déjà connu en 2018, pendant que les médecins cherchaient ce que j’avais, d’où la NDE.

Et comme je ne tiens pas à refaire de NDE aussi puissante fut-elle, je prends donc la méthode perfusion pour rester en vie. 

J’ai été sous traitement tous les 14 jours jusqu’à ce que je n’en puisse plus en novembre  2019 où le médecin référent loin de chez moi, a finalement accepté que je l’étende à 21 jours.

Épuisée également par la route, j’ai décidé de me rapprocher l’Hôpital de ma ville en septembre dernier pour faire le traitement près de chez moi, et si ce n’était ce médecin de médiocre qualité, la proximité et le gain de temps et d’énergie pour les trajets le jour du traitement m’ont largement facilité la vie.

Seulement voilà, il y a trois mois le médecin ( Dr.Lafauta Michel) m’a envoyé un compte-rendu rempli d’erreurs concernant mon cas, les dates étaient inventées de toutes pièces et ne correspondaient en rien à la réalité, le Dr.Lafauta Michel avait inventé le récit, d’une autre patiente qui était moi. Il a tout de même insisté sur le fait que d’entrée j’avais refusé le traitement, ne tenant pas compte d’une part que le diagnostic n’était pas posé et d’autre part, j’étais en état de choc. 

Tenant au respect de l’exactitude et de la chronologie de mon cas, je me suis autorisée à corriger les torts, à travers son récit rocambolesque, le tout en replaçant la vérité là où elle devait être, car le Dr.Lafauta Michel avait tout l’air d’avoir recopié le dossier d’une autre personne.

À aucun moment je n’ai imaginé un instant que j’allais froisser l’ego surdimensioné du Dr.Lafauta M, qui, au lieu d’accepter son délire mégalomaniaque s’est directement opposé à moi, en tenant tête à une patiente déjà affaiblie par la pathologie concernant son récit et en s’acharnant à vouloir me faire passer pour une folle. «  le diagnostic était posé, MADAME! » comme si c’était lui qui avait vécu mon drame de vie. Mon silence fut glacial et je clôturai l’entretien en lui disant ce que je pensais par l’expression du regard. 

Pour mettre un terme à son délire, mon médecin généraliste a pris la décision de le contacter en lui envoyant tout simplement le dossier corrigé avec les dates qu’il avait modifiées sans raison, et en lui indiquant simplement que le dossier qu’il avait entre les mains, n’était visiblement  pas le mien. Alors qu’il me prenait pour une menteuse, il a tout de même cru sa consœur qui disait exactement la même chose que moi. C’est dire le niveau du Dr.Lafauta Michel. 

La fois suivante, lorsque nous nous sommes vus, il est arrivé vers moi, doux comme l’un agneau, en me disant qu’il avait tout rectifié, mais à quel prix, car depuis, je lui suis devenue insupportable. Je pourrais même dire que je lui sors par les trous de nez ou d’ailleurs, tellement, tellement, il lui semble insupportable de me fréquenter, c’est alors que je me suis souvenu qu’un patient n’a aucun droit, mais que des devoirs, et surtout que certains médecins sont vraiment des personnes médiocres et peu compétentes avec un pouvoir de vie et de mort sur leurs patients, Je le savais déjà pour l’avoir vécu dans mon passé lorsque mon père avait été terrassé par un anévrisme et s’était battu pendant de longues années. Cette fois-ci, je l’ai redécouvert à mes dépens, dans ma chair. 

Le mois dernier, je me rends à mon au rendez-vous que j’aurai préféré galant, mais c’était celui de la perfusion. Dois-je préciser que le Dr.Lafauta m’a renvoyé un courrier avec les exactes mêmes erreurs de dates de mon dossier, m’indiquant qu’il n’avait, en fait, pas tenu compte de la moindre correction, finalement, à moins que ce fut une erreur de sa secrétaire. J’ai compris que j’avais affaire à un vrai con. J’arrive dans la salle de perfusion, m’assieds tranquillement sans masque puisque je manque d’oxygène à cause de cette pathologie, ce qu’il doit savoir de toute évidence non? Mais ce jour-là, j’ai commis un crime de lèse-majesté.

N’osant pas s’adresser à moi directement, ce qui montre le caractère du personnage, il m’envoie lâchement l’aide-soignante me faire dire (à la fin d’un questionnaire long comme le bras et très indiscret pour l’ hôpital) que je dois porter le masque. Je lui réponds que je ne peux pas le mettre, car je m’étouffe avec. Est-il nécessaire de lui dire que son masque de carnaval ne sert à rien d’autre qu’à me priver de respirer en me mettant en état d’hypoxie, à humilier les patients et à rendre encore plus malades ceux qui ont déjà un souci de santé ?

Bref. Le voilà qui se présente comme un coq amoureux d’une pendule, accompagné de son infirmière pour m’imposer le port du masque. Je lui précise que le port du masque provoque chez moi une poussée d’herpès bien plus contagieuse que le virus dont il a peur, et que je suis incapable de respirer avec ce dispositif.

S’ensuit alors une conversation surréaliste avec l’infirmière qui me dit sur un ton de gardienne de camp de concentration déguisée en pendule de salon :

Mais c’est obligatoire. C’est obligatoire. C’est le protocole ! Et comment vous faites pour aller faire les courses, hein, comment ?

Évidemment j ai tout de suite pensé à ce regretté Pierre Desproges qui en aurait fait un sketch probablement. On l’aurait dit échappée d’une cité dortoir. Et moi de répondre que justement, dans mon état, je ne consomme plus, que je ne vais pas faire des courses comme Madame Pouet-Pouet, comment pourrais-je même les transporter mes courses, puisqu’il m’est interdit de circuler sans masque et que celui-ci m’étouffe. C’est mon compagnon qui s’y colle, ispice di c…

Mais elle insiste Éva Braun :

  • C’est le protocole Madame.

Et l’autre courageux qui en remet une couche :

  • – si vous ne mettez pas de masque, on ne vous fera pas le traitement, vous êtes un danger pour nous et nous ne pouvons pas nous approcher de vous.

Quand je pensais que j’avais affaire à un con, j’étais en dessous de la vérité, c’est vraiment un méchant con. À mon tour furieuse de devenir le souffre-douleur de ces diaboliques, je répondis :

  • Vous êtes bien conscients de ce que vous faites ? Cela s’appelle de la maltraitante puisque j’ai besoin de mon traitement pour survivre et de plus, c’est du chantage…

Contrainte par la bêtise, je prends mon masque pré-decoupé et presque transparent et  je le porte très énervée. Et juste deux minutes après l’avoir mis, je fais une crise de spasmophilie fulgurante devant l’imbécile d’infirmière et le Docteur Mengele, et figurez-vous que ces deux paranoïaques n’osent même pas s’approcher de moi pour me secourir lorsque je leur demande, secouée par des spasmes, d’ouvrir la fenêtre et de me donner en urgence un sac afin de respirer dedans. Jamais je ne pourrai oublier la réponse de l’un de ces deux monstres, elle ou lui, je ne sais plus :

  • On ne peut pas s’approcher de vous, MADAME, puisque vous n’avez pas de masque.

J’étais en état de panique mais j’avais envie de mesurer 1m90 et leur coller une soupe de baffes. À la place, j’étais parvenue seule à me diriger vers la fenêtre en m’efforçant de ne pas tomber, car mes jambes tremblaient (idem pour l’intérieur de la bouche et les bras) et en tentant de respirer à plein poumons tournant le dos à ces êtres infâmes. Finalement les deux sadiques ont fini par me lancer dédaigneusement un sac.

J’ai rassemblé mes forces sur mes jambes flageolantes et me suis calmée en les maudissant intérieurement pour leur manque d’humanité, leur bêtise et leur ignorance de la médecine et de la science, car tous les scientifiques savent que ces masques sont incapables de bloquer l’avancée d’un virus.

L’infirmière venait tous les quarts d’heure me demander si ça allait pour pouvoir mettre le masque et me perfuser brutalement.

Était-ce pour me faire payer mon insolence? Allez savoir.

Moi, je ne voulais qu’une seule chose, quitter ce lieu, je ne voulais que partir, quitter cet enfer. Je suis restée assise, épuisée, silencieuse et j’ai posé le masque en le tenant avec ma main et en tournant la tête pour ne pas regarder cet être abject qui me bousillait les veines une fois de plus. Elle a parfaitement vu que je ne portais pas vraiment le masque comme le protocole l’exigeait et je vous assure que la consonance de la langue allemande s’imposait à cet instant à ceux qui suivirent.

Alors, le Dr. colonel Schweindhund a fini par venir me faire la morale et se justifier sur sa maltraitante, comme je le lui avais fait remarquer. Comme quoi, ils étaient là pour me soigner, mais que sans masque,  ch’étais un dancher pour eux ( j’étais pleine de virus COVID imaginaire) je poufais être asymptomatique, que je fusse fragile et à risque et qu’il afait fu des militaires costauds sous covid… oh mon Dieu, me dis-je, il est vraiment très con le Dr Mengele, quelle terreur devais-je éprouver, devais-je avoir si peurrrrr. Ah, et puis il a commencé bien sûr par

– Il ne faut tout de même pas vous mettre dans ces états…

Mais c’est lui, le sadique, qui m’avait poussé à me mettre dans ces états, c’est lui qui m’a regardée en pleine crise de spasmophilie sans bouger, en se réjouissant de ma douleur. Je le soupçonne même d’avoir imaginé que je jouais la comédie. Bien sûr je n’ai que ça à faire voyons. À défaut d’être un véritable médecin, il était fin psychologue.. quid du primum non nocere ?

Dans mon état, lassée par son monologue débile, je suis finalement sortie du silence en lui disant d’une part, qu’asymptomatique voulait dire sain, non malade, et d’autre part que l’HPN n’était pas contagieux.

Ah, je sais bien qu’il n’a ni apprécié ma réponse qui montrait sa méconnaissance de son métier, ni le fait que je n’ai pas été impressionnée par la peur qu’il voulait m’imposer. Et le problème semble être là. En tout cas c est la perception que j’en ai. 

  • Je vais parler avec ma cadre pour trouver une solution, car il faut que nous nous protégions. Vous êtes dangereuse pour nous. 

Je ne sais combien de fois il a répété que j’étais un danger. Mais s’ils voient les patients qui réfléchissent comme un danger, ne vaudrait-il pas  mieux qu’il change de métier ?

Mais voilà, il en remettait une couche, j’étais à peine sortie du traitement, épuisée, et j’étais un danger, un danger qu’il avait décrété que j’étais, et cela sans la moindre preuve scientifique. Dangereuse surtout, car je ne lui obéissais pas gentiment avec le port d’un masque de protocole inutile et très dangereux pour moi.

Sa cadre, bien plus courtoise m’a appelée l’autre jour et m’a proposé une visière qui serait à ma disposition ce jeudi. Pour ne pas faire de vague, j’ai répondu que j’étais d’accord sur le principe, même si je trouvai que l’idée ne changera pas grand-chose, mais au moins, je pouvais respirer. Mais lorsque je suis arrivée au rendez-vous, ils avaient oublié la visière qu’ils devaient me fournir ; visiblement l’infirmière avait été mise au courant, mais toujours hostile dans son attitude, elle m’a signalé que le masque que je tenais dans mes mains était très fin. De quoi je me mêle ? Ai-je pensé; veut-elle aussi voir la couleur de ma culotte ?

Mais je n’ai pas répondu. Elle m’a encore loupé en me mettant le cathéter, les veines me faisant des bleus sans parler de la douleur horrible. Aucune compassion sur le fait que mes veines sont en effet fatiguées car, constamment sollicitées depuis des années. Je lui ai réclamé la visière promise et quand l’interne me l’a apportée, elle m’a dit que dorénavant le médecin exigerait un PCR avant chaque perf. Tout d’un coup, comme cela! Sorti de nulle part. Je lui ai répondu :

  • C’est une blague ? J’ai la visière là. Vous la voyez?
  • Ah oui me dit-elle, mais ce n’est pas suffisant, nous ne sommes pas protégés.

Bien sûr le médecin m’a envoyé son interne pour ne pas m’affronter et j’ai simplement répondu à l’infirmière que pour le test PCR bourré de nanotechnologies, il n’en était pas question.

Je m’attends à recevoir sous peu un courrier me disant que “pas de PCR, pas de traitement”.

Non content que j’accepte la visière, comme le médecin sait que je ne me soumets pas à ses volontés, il cherche véritablement à me punir pour avoir remarqué son incompétence dans mon cas.

Au moment où j‘écris ce témoignage, je vais sûrement devoir contacter un avocat, car je ne vais pas le laisser continuer à me pourrir une vie déjà fort compliquée. Je ne peux, hélas, pas me permettre de ne pas aller à cette séance de perfusion. Et je ne ferai pas de PCR parce qu’un petit médecin de pacotille l’a décidé ainsi.

J’ai oublié, la cerise sur le gâteau : l’infirmière qui est venue me retirer la perfusion a trouvé très drôle que je reparte avec trois beaux bleus sur mes bras et ma main au lieu d un seul quand le travail est bien fait.

Mais comment un soignant peut-il se réjouir des bleus provoqués à un patient et n’avoir aucune idée de ce qu’est l’empathie ?

Où est passé la conscience de cette femme? Se sent-elle puissante à traiter de la sorte une personne fragilisée, même si je ne le montre pas? je n’ai pas de mots. Je suis rentrée dans ma voiture et malgré la force qui me caractérise et l’énergie qui m’accompagne toujours, je me suis effondrée à l’idée de devoir endurer ces horreurs et d’y retourner dans 20 jours.

Que Dieu me vienne en aide et que la Grande Conscience éclaire ce corps médical bien mal en point. 

Sonia

19 Commentaires

  1. Quand j’achète un produit, par exemple sur Amazon) je vais voir les commentaires sur ce produit avant de me décider.
    Quand je recherche un médecin, je devrais être en mesure d’aller voir sur le net quelle est sa réputation.
    Mais il parait que le conseil de l’ordre interdit cette pratique.
    C’est ainsi que l’on a des baltringues qui continuent d’exercer en toute impunité et durant toute leur carrière.

  2. Quelle tristesse de lire ce témoignage. Courage à vous Sonia, c’est malheureusement la seule chose que je puisse vous donner. Mon coeur se déchire avec tant d’injustice. Je vous envoie beaucoup d’amour. Amicalement, Cécile

  3. Bravo et bon courage sonia, la médecine corrompue de rockfeiller est une grande faucheuse, en plus; elle se permet de toujours demander des budgets mais ne remet jamais en cause son inefficacité mortifére.
    Battez vous contre ce test débile.

  4. Sonia, Rejoignez l’ASSO juridique REACTION 19 (voir site sur le net) ou une asso de médecins bienveillants. Tout dépend de votre endroit de résidence. Mais je crois qu’il y a lieu d’agir en groupe. Seule, ils vous imaginent “faible”. Mais vous n’êtes pas seule. Nous sommes là. Bon courage et bonne chance à vous. Vous pouvez aussi joindre le site de France Soir, un journal courageux en ligne. Amitiés. Christine

    • Très bonne suggestion. En ce qui me concerne, je chercherai un autre médecin car hors de question que l’on m’impose quoi que ce soit. Je comprends que cette personne est dépendante de ce traitement mais à quel prix ?? On sait que tout ce que l’on fait à l’encontre de nos choix est néfaste pour notre corps. Alors que cette dame se protège et, elle n’est pas seule… Il faut l’aider l’encourager et pouvoir la contacter, sinon à quoi sert le mot “solidarité” ?

  5. Effarant de conneries ce médecin …bravo de cet humour dans ces circonstances éprouvantes , on dirait presque un roman …et pourtant …mon coeur fraternel en présence …

  6. Que d émotions à la lecture de votre témoignage, je suis infirmière et je ne comprends pas qu’on puisse avoir un comportement aussi monstrueux et ignoble avec un patient. Je ne sais pas s’il y a un service d HAD (hospitalisation à domicile) rattaché à cet établissement, mais essayer de voir avec la direction de l hôpital pour faire valoir vos droits, et bénéficier de vos soins à domicile. Tous les hôpitaux de France ont ce que l’on appelle des chartes et il y en a notamment une qui concerne le droit des patients , mais visiblement ce bourreau n’a pas du avoir de piqûre de rappel depuis longtemps. Et une menace de dépôt de plainte auprès de la direction de l hôpital devrait vite les faire réagir. Je vous souhaite beaucoup de force et de courage dans vos démarches et j’espère de tout cœur que vous pourrez bénéficier de soins dispensés de manière douce et bienveillante. Je vous envoie beaucoup de lumière.

  7. Épouvantable ! Et malgré toutes ses arrogance de petits capos…..vous avez su nous raconter cette scène avec beaucoup d’humour face aux méprisables vermines médicales ! Bravo à vous madame et courage !

  8. De plus en plus d’abus de pouvoir. Je suis peinée et comprends votre impuissance .J’ai dû moi même quitter le travail dès le début de cette plandémie , car de mon côté le port du masque m’était insupportable ( je suis claustrophobe) . Je vais voir le médecin de famille qui dès la première heure me dit ” Il va falloir voir un psychologue et prendre des anti dépresseurs ” . Elle me donne deux semaines . Après ces deux semaines de réflexion j’ai décidé de sortir du système. Aucune écoute de sa part. Le médecin n’a jamais voulu me donner un papier me permettant de ne pas porter le masque. ” Je ne peux vous prescrire ça , car c’est aller à l’encontre du Ministère de la Santé ”
    Le plus triste dans cette histoire , ils se permettent d’inverser tout . Ils ont oublié leur serment : SOIGNER SANS NUIRE.
    Votre témoignage m’a beaucoup touché et c’est la première fois que je partage ce qui m’est arrivé. Je vis au Québec et ce n’est pas facile ici non plus. Je sais que vous êtes obligée de vous rendre à cet hôpital et ça rend votre périple encore plus difficile . Je vous admire d’affronter la tête haute ces gens qui ont perdu tout sens divin. L’union fait la force. J’espère que vous rencontriez d’autres comme vous afin que vos droits et votre voix se fassent entendre.

    • A combien de fois, on voit les natures réelles et profondes de celles ou ceux qui avant vous faisaient de “A quelque chose malheur est bon”

  9. Merci pour votre témoignage Sonia qui une fois de plus démontre une grande incompétence humaine pour un homme et une femme se disant docteur et infirmière…
    Je compatis avec vous et j’aimerai bien vous aider… avez vous déjà fait appel aux soins énergétiques ou guérisseur ? Ce peut être une piste… je vous envoie tout mon amour. Nathalie

  10. Une solution Sonia, inscrivez vous à réaction 19 pour 10 euros par an : https://reaction19.fr/ et envoyez immédiatement votre récit en passant par la “case” contact à Maître Carlo Alberto Brusa. Je suis sûr que vous aurez de ses nouvelles rapidement afin d’avoir une prochaine séance sans souffrances supplémentaires infligées. Ces gens que vous décrivez sont des psychopathes qui se nourrissent de votre souffrance , des pervers narcissiques. Félicitation pour votre courage et votre ténacité, bien à vous..

  11. Chère Madame,
    Je vous assure que votre témoignage m’a faite pleurer.
    Dans ces cas, qui peut vous défendre ? C’est là la question.
    Ces personnes qui vous font du mal sont des lâches, elles se sentent fortes devant un être faible. Pauvre monde !

  12. Mon dieu ou sommes nous avec tous ces medecins débiles,ignorants tous complice avec l’ordre mondial.Merci pour votre récit et courage a vous.

  13. Ce témoignage est bouleversant,je m’associe entièrement aux autres commentaires bienveillant a votre encontre? je suis en train d’envisager le projet de Philippe et si j’ai bien compris,si nous sommes détenteurs de la clc il va peut être nous être possible de traîner ces CRAPULES devant qui de Droit ?

  14. Notre société c’est dégradée à ce point ?
    Je suis sans voix en lisant ce témoignage, bien que moi même, j’ai eu à subir des protocoles tel un rat de laboratoire dans le passé.
    sans être méchant, je souhaite que ces portails organiques vivent un jour ce qu’il ont fait subir à leurs patients.

  15. Bonjour Sonia,
    C’est inadmissible de tomber sur une équipe pareille. Je vous comprends et vous soutiens dans votre combat. Il faut résister contre cette méchanceté gratuite incompatible avec leur métier de “soignant”…
    Vous avez le droit de ne pas porter un masque pour raison de santé, c’est votre droit. Il y a intention de nuire de la part de cette équipe médicale qui vous impose quelque chose qui vous rend malade. Sans parler de non assistance à personne en danger. Tous ceux qui portent le masque (et qui croient que cela les protège) n’ont pas à avoir peur si vous n’avez pas de masque…. C’est d’une logique imparable. Quant au PCR cela n’a jamais été prévu pour valider ou non le virus en question… C’est vraiment une aberration !
    Je vous souhaite beaucoup de courage.
    Si je peux me permettre un petit conseil : Il faudrait que vous alliez à votre séance avec un huissier qui pourrait constater comment vous êtes traitée.
    Bien à vous
    Chantal

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